LIFE IS A MISERY

POOR CHILDHOOD.

La vie est une salope. Elle l'a toujours été, et le sera à jamais d'après moi. Je dis cela tout bonnement parce que je n'ai pas une vie heureuse. Je ne sais pas ce qu'est le bonheur, et ça me va comme ça, après tout je n'ai jamais connu autre chose. Dès ma plus tendre enfance, j'entendais parler de factures, d'avis d'expulsion, de crédits et autre. Je ne comprenais pas grand chose, mais tous ces mots étaient au moins placés une fois dans mon quotidien, et puis je m'y suis fait. Je viens d'un milieu modeste, je n'ai pas eu de père et j'ai eu en guise de cadeau de mon cinquième anniversaire, l'annonce de l'arrivée de ma petite sœur. Je me rappelle très bien de ma réaction,je m'étais enfuit en courant et en claquant les portes sur mon passage. J'avais déjà très peu de jouets, de choses m'appartenant, et en plus j'allais devoir les partager ? Quel mon injuste, comme déjà dit, la vie est une salope. « Maman ? » Cette dernière ne me répondit pas par des paroles, mais par une caresse dans les cheveux. Cela me surprit un peu, car elle n'était pas la pro des démonstrations affectives. « Le bébé dans ton ventre, il a un papa ? » Je ne me rendais pas compte que ma question pouvais paraître déplacée, ou gênante. Mais j'avais besoin de savoir, je posais ensuite mes minuscules mains sur ses joues, attendant une réponse de sa part. Tout ce qu'elle trouva à faire était de me reposer part terre et se mettre aux fourneaux. Je fronçais les sourcils et ne répondit rien à mon tour, puis à ma grande surprise, ma mère se rapprocha de moi et s'abaissa à ma hauteur. « Tu vas avoir une petite sœur, et c'est tout ce qui compte d'accord ? », puis elle retourna à ses occupations. Du haut de mes cinq ans, je rouspétais puis me fis finalement à cette idée. Tout de même contrariée, je me dirigeais vers la télévision et l'allumais, oui à mon âge j'avais déjà acquis tous ces gestes. Je devais bien occuper mes journées d'une manière ou d'une autre après tout. Après un petit temps de réflexion, je revins vers ma mère. Il y avait quelque chose qui clochait dans tout ce qu'elle me racontait, et mon petit cerveau l'avait bien comprit. Je tirais sur sa jupe, afin d'attirer son attention puis me lançais. « Maman, comment on fait les bébés ? ». De ce que j'avais entendu à l'école, il fallait un papa et une maman pour en faire un. Je ressentais de par sa respiration, un certains agacement. Je devais l'énerver avec toutes mes questions, mais elle ne me disait jamais rien. J'avais seulement droit à des réponses très brèves, évasives et à l'opposé de ce que j'attendais d'elle. Mais bon sang qu'est ce qui n'allait pas ? Je voyais ma mère stopper toute activité, elle posa la spatule en bois qu'elle avait dans la main, et tourna la tête dans ma direction. Elle me lança un regard que je n'oublierai jamais, puis serra ses dents, je l'avais vu à la manière dont sa mâchoire se tendait et se détendait. « Ruby, tu files dans ta chambre et tu arrêtes de poser des questions idiotes. » « Mais mam.. »  « Tout de suite ! ». Les larmes aux yeux, je fis tomber tout ce qui se trouvait sur mon chemin. Sur les meubles en particulier. Le petit appartement s'était transformé en un champ de bataille, ainsi j'exprimais ma colère. J'avais seulement cinq ans.



IM NOT A KID ANYMORE.


La vie est une salope, une p*tain de salope. Ce soir là, je voulais sortir. Avec une bande d'amis, pas très clean mais peu importait. Manque de bol, ma mère travaillait de nuit. e lançais un regard noir à ma jeune sœur, qui au fond était satisfaite de me voir rester là. Je n'avais aucune idée de pourquoi, mais chaque fois que je sortais elle trouvait une raison pour me faire rester, d'ailleurs elles étaient plus farfelues les unes que les autres. J'avais une envie quasiment incontrôlable de hurler de toutes mes forces. Ma mère m'ignorait totalement, prit son sac embrassa ma sœur puis s'en alla. Et je devais me taire, et rester là ? Je soupirai, puis m'effondrai sur le canapé. Puis une idée me vint en tête, un fin sourire vint s'afficher sur mes lèvres. Doucement, je me relevais et m'approchai de ma sœur. La petite tête blonde leva les yeux vers moi, et plissa les yeux, essayant de lire dans ma tête. « Quoi ? », elle se redressa puis croisa les bras à ma manière, attendant une réponse. Elle m'énervait profondément quand elle faisait ça, m'imiter. Ma mère disait souvent que c'était normal, et qu'elle me prenait pour son modèle, et moi je lui riais au nez. Enfin, à ce moment là, vu l'idée qui me cogitait dans la tête, je me devais d'être sympathique avec elle. « Dis-moi, tu m'avais dit un jour, que t'aimerais rester seule une nuit, pour une fois hein ? » Du haut de ses onze ans, elle me dévisagea – chose qui en temps normal aurait mérité une bonne gifle dans ses dents - , et essaya encore une fois de lire dans ma tête. « Je t'ai déjà dit d'arrêter ça, t'es pas une voyante pour lire dans mes pensées. Bref, ça te dirait de rester seule cette nuit ? » « Hors-de-question, maman n'est pas au courant en plus. ». « Oh allez, je fermerai la porte à clé, t'as qu'à regarder la télé. Puis je rentrerai avant maman, donc. » . Je sentais bien qu'elle était sceptique, et que j'allais devoir lui faire du chantage. « Hmm, tu me donnes combien ? ». J'haussais les sourcils et la regarda de haut en bas. « Hey, t'as cru qu'on était chez les riches ou quoi ? Au cas tu l'aurais pas comprit, NON, on est pas riches. Bon allez, de toutes manières je me barre. » « Je le dirai à maman ! » « Ah ouais ? Tu feras moins la maligne quand je lui dirais que tu l'a traité d'emmerdeuse tout bas. » Je vis à sa tête que j'avais gagné. « Allez, tchuss. ». Un peu de maquillage, et j'étais fin prête. J'avais relevé mes longs cheveux blonds en un chignon fait à la va vite et quelques minutes plus tard je me retrouvais en bas de mon immeuble. Je jetais un rapide coup d'oeil vers la fenêtre du quatrième étage, où j'habitais. La lumière était allumée et je pouvais apercevoir Heidi devant la télé. Elle eu le même réflexe que moi, c'est à dire me chercher du regard. Je lui fit signe de tirer les rideaux, puis m'engageait dans les rues de Brisbane. J'y retrouvais à un endroit bien précis ma bande d'amis qui s'impatientait. Josh vint à ma rencontre et m'attrapa le bras, en appuyant fort. Je laissais échapper un bruit de plainte. « Quoi, mais c'est quoi ton problème bordel ! », il me prit à part, « T'étais censée être là y'a quinze minutes, tu foutais quoi ? »  « T'as besoin de connaître mon emploi du temps à la minute près ? J'étais occupée c'est tout, t'es pas mort.  Et puis arrête un peu, j'suis pas ton jouet. »



DAMMIT IM AN ADULT.


Dieu, je haie la vie. Dieu je te hais toi. En fait, je ne suis pas croyante, mais le peu de fois où j'ai fait appel à tes services, tu n'as rien fait. Tu nous a laissé avec maman et Heidi dans la modestie la plus profonde, ne nous faisant vraiment pas de cadeaux. J'ai laissé tomber les études, c'était vraiment pas pour moi, contrairement à ce que disaient mes professeurs. Ils étaient là à me défendre coûte que coûte devant tout le, à crier au et fort que j'avais des capacités mais que je ne les exploitais pas. Je n'en avais rien à foutre, j'ai tout laissé tomber et j'ai prit un petit boulot de vendeuse dans un magasin de vêtements aux prix abordables. Je ne suis toujours pas heureuse, et je ne pense pas connaître le réel bonheur un jour; je me contente de survivre. Pour arriver à tenir le coup, je prends des saletés, je touche à tout; alcool drogues et autres. J'ai déjà tout essayé, tout. Et puis il y'a Dustin. C'est mon copain. Depuis quelques mois, on est ensemble et c'est plutôt cool. Le seul hic, et bien c'est moi. Il essaye à tous prix de me sauver, de me faire arrêter, mais je ne peux pas. Je ne veux pas, je ne veux pas affronter la dure réalité de la vie. J'ai aussi fait une fausse couche récemment, mais ça il n'est pas au courant. Je ne sais pas si je vais lui dire, je ne sais pas quoi faire; en fait je suis perdue. C'est cela complètement paumée. J'ai tué mon bébé. Je sais très bien que c'est à cause des cochonneries que je prends que j'ai perdu l'enfant. En ce moment, je me déteste, autant que je haie la vie.

Bienvenue sur le forum !
Bonne chance pour ta fiche.

Des tarés qu'il y a sur ce forum.
Dont je ne fais pas partie bien sûr

OUAIS. TU SORS

AMBERRRRRRRR

*viens on va courir dans les champs de coquelicots nues #SBAFFFFFFFFFF#*

*ouais, ouais, je sais, je cours vers la sortie *

Bienvenue et bonne chance pour ta fiche

BORDELDEBITEEEE.
KAIT' MON ESCLAVE SEXUELLEEE : JE VIENS COURIR AVEC TOI

ESCLAVE ?

LE SECOND PRENOM DE JEANNE EST F...

Je suis bête de sexe nanméoh ma femme

Ouais, mon second prénom c'est de la grosse daube.
MAIS TU SAIS QUOI MA FEMME ?
JE M'EN CONTRE FICHE

TU M'APPELLES MA FEMME BORDEL DE BITE A CUL, PAS ESCLAVE

JE T'APPELLE COMME JE VEUX.
ET D'ABORD, T'ARRÊTE DE POLLUER CETTE PRÉSENTATION ?
Bel exemple hein

GENRE C'est qui qui pollue les fiches de tout le monde hein ?

Pas moi

GENRE c'est qui qui a le plus de message de nous deux ? Toi, espèce de crétin